Protecting Privacy Rights
during the Digital Era of the Economy
Ass. Prof., National and Kapodistrian University of Athens Law School, Department of Public Law
Within the framework of the “digital economy” a new business paradigm arises and expands: New businesses often referred to as “internet intermediaries”, acting solely as service/information providers and with a tendency towards infinite size and de facto monopolistic situations, establish themselves in various sectors of the economy. This paradigm shift enhances economic efficiency but may simultaneously be understood as a source of risks, first of all due to the possibility of eventual abusive monopolistic behaviors; moreover, modern threats against effective protection of fundamental rights and liberties such as privacy rights arise from this situation. Policy makers and legislators face difficulties in tackling such risks, due to the absence of harmonization at the global level or even due to the absence of sufficiently determined control criteria. This presentation aims at controlling the accuracy of these observations with regards to the newly established “right to be forgotten”.
Au sein du cadre de “l’économie digitale”, un nouveau modèle économique émerge et se répand: de nouvelles entreprises, souvent appelées “intermédiaires de l’internet”, agissant seulement comme prestataires de services/ d’information et ayant une tendance à s’agrandir à l’infini et à instaurer des situations de monopole de facto, s’installent dans différents secteurs de l’économie. Ce changement de paradigme accroît l’efficience économique mais peut en même temps être compris comme une source de risques, surtout en raison de la possibilité de comportements monopolistiques abusifs éventuels; de plus, des menaces modernes contre la protection efficace des droits et des libertés fondamentaux tels que le droit à la vie privée émergent de cette situation. Les décideurs politiques et les législateurs font face à des difficultés quand ils s’attaquent à de tels risques, en raison de l’absence d’harmonisation au niveau global ou même de l’absence de critères de contrôle suffisamment précis. Cette présentation vise à contrôler l’exactitude de ces observations à propos du “droit à l’oubli” nouvellement établi.
